Bonjour chers membres du groupe et tous ceux et celles qui liront cette chronique en dehors du groupe. J’ai vécu une situation la semaine dernière qui m’a beaucoup éclairée et elle pourrait également vous aider.
Comme tout le monde, nous sommes tous confrontés un jour à une situation qui est hors de notre zone de contrôle et on doit y faire face. La semaine dernière je recommençais une série de formations dans une autre ville. Je me suis préparée tout l’été en mettant à jour mon powerpoint et en peaufinant mes exercices, les documents, le visuel, etc. Deux jours avant mon départ (Note: Je quitte toute seule, je couche ailleurs que dans mon confortable lit, à plus de 250km de ma zone de confort!), donc deux jours avant mon départ, un malaise assez évident se manifeste dans mon bedon. Une vraie tempête mes amies! Très tôt le matin, trop tôt(tu sais le moment où personne ne va à la toilette!), j’ai dû aller à la selle (excusez les détails) et ce à trois ou quatre reprises. J’avais un gros poings dans le ventre.
Avant, j’aurais commencé à paniquer et à m’imaginer que c’était une gastro! Ben voyons donc! C’était loin d’être la gastro, c’était vraiment plus le trac et un peu de nervosité due à cet événement futur. J’ai fait ce que mon acupuncteure m’a enseigné. Mettre ma main sur mon ventre, et l’autre sur l’estomac et “sentir” le stress et ressentir la douleur (c’est du senti ça!). Ouvrir le ventre vers l’extérieur (faire le bedon rond) et m’étirer vers l’arrière pour laisser cet énergie circuler sans essayer de la camoufler et de la retenir. Constater mon stress. J’y ajoute ma touche personnelle en me parla doucement et paisiblement comme si je voulais prendre soin de moi. : “Pauvre Nath, tu es donc ben nerveuse pour ce travail là! Ça va bien aller, tu feras ton possible et advienne que pourras! Ça vaut tu vraiment la peine de vivre toutes ces émotions là? En tout cas, je suis avec toi (Comme si mon moi “zen” accompagnait mon moi moins zen!). Je fais de grandes respirations questions de bien ressentir le stress s’en aller un peu. Je ne m’attends pas à une disparition complète, mais à une amélioration modeste.
Le lendemain, même scénario de toilette. Mais là, ma réaction est immédiate et plus positive, je souris et je dis: “Encore? Tu t’en fais encore? Ben coudons! Et on recommence moi et mon moi-même le même scénario de relaxation.
Il est très important de savoir, et j’ai vu des études à ce sujet CLIQUEZ ICI, que le stress a un impact direct sur les intestins un autre CLIQUEZ ICI.
Je me décris souvent comme une fonchieuse, je fonce dans la vie mais je ch… dans mes culottes 😉. Mais c’est la faute d’une hormone de stress hi hi hi!
Écrite en août 2018
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